Mythologie grecque >>Dieux grecs >> Dieux du ciel >> Dieux des étoiles >> Eosphore & Hesperos. (Eosphoros & Hesperos)

Traduction

Eôsphoros

Hesperos, Hesperus

Nom romain

Luciferus, Lucifer

Vesperus, Vesperus

Traduction

Bringueur d’aube

Soirée

Nyx et Hesperus, cratère athénien à figures rouges C4e av.C., Musée d’État de l’Ermitage

EOSPHOROS (Eosphorus) et HESPEROS (Hesperus) étaient les dieux de l’étoile (aster planeta) Vénus. À l’origine, ils étaient considérés comme deux divinités distinctes : le premier, dont le nom signifie  » le précurseur de l’aube « , était le dieu de l’étoile de l’aube, tandis que le second,  » le soir « , était l’étoile du crépuscule. Les deux dieux-étoiles ont été combinés plus tard.

Dans les peintures de vases de la Grèce antique, Eosphoros-Hesperos était sous la forme d’un homme jeune, soit sous la forme d’un buste entouré de l’orbe brillant de son étoile, soit sous la forme d’un dieu ailé tenant une torche et couronné d’une auréole brillante.

FAMILLE

PARENTS

ASTRAIOS & EOS (Hésiode Théogonie 378, Apollodore 1.8, Nonnus Dionysiaca 6.18 & 37.70)
KEPHALOS & EOS (Hyginus Astronomica 2.42)

OFFSPRING

ENCYCLOPEDIA

HE′SPERUS (Hesperos), l’étoile du soir, est appelé par Hésiode un fils d’Astraeus et d’Eos, et était considéré, même par les anciens, comme le même que l’étoile du matin, d’où Homère et Hésiode l’appellent le porteur de lumière, heôsphoros (Il. xxii. 317, xxiii. 226 ; comp. Pline. H. N. ii. 8 ; Mart. Capell. viii. § 882, &c., éd. Kopp). Diodore (iii. 60) l’appelle un fils d’Atlas, qui était passionné d’astronomie, et qui, une fois, après avoir gravi le mont Atlas pour observer les étoiles, disparut. Il était vénéré avec des honneurs divins et considéré comme l’étoile la plus belle du ciel. (Eratosth. Catast. 24.) Hyginus (de Sign. Coel. 2) dit que certains l’appelaient fils d’Eos et de Cephalus. Les Romains le désignaient par les noms de Lucifer et d’Hesperus, pour le caractériser comme l’étoile du matin ou du soir.

Source : Dictionnaire de biographie et de mythologie grecque et romaine.

NOMS ALTERNATIFS

Nom grec

Ἑσπερος

Εωσφορος

Φωσφορος

Translitération

Hesperos

.

Eôsphoros

Phôsphoros

Epellation latine

Hesperus

Eosphorus

Phosphorus

Traduction

Soirée, Crépuscule (hesperos)

Bringueur d’aube (eôs, phoros)

Bringueur de lumière (phôs, phoros)

N.B. Les Grecs ont également nommé l’étoile elle-même Aster Aphrodition ou étoile de la déesse Aphrodite. Les Romains ont fait de même en l’appelant l’étoile de Vénus, Vénus étant le pendant romain d’Aphrodite.

Citations de la littérature classique

PARENTAGE D’EOSPHORUS

Hélius le Soleil, Eos l’Aurore et Eosphore l’Etoile de l’Aurore, Kratère apulien à figures rouges C4e av. J.-C., Staatliche Antikensammlungen

CHILDREN OF EOSPHORUS

Pseudo-Hyginus, Fabulae 65 (trans. Grant) (mythographe romain C2e ap. J.-C.) :
« Ceyx, fils d’Hesperus (appelé aussi Luciferus). »

Pseudo-Hyginus, Fabulae 161 :
« Fils d’Apollon . . . Philammon par Leuconoé, fille de Luciferus. »

Ovide, Métamorphoses 11. 270 ff (trad. Melville) (épopée romaine C1 avant J.-C. à C1 après J.-C.) :
« Ici, le fils de Lucifer , le roi Ceyx, régnait sans effusion de sang ni force et dans son visage royal brillait l’éclat de son père, bien qu’en ce temps-là, contrairement à lui-même, il pleurait dans la douleur la perte de son frère…
‘Il s’appelait Dédalion. Nous étions frères, enfants de l’étoile qui réveille l’aube et quitte les cieux en dernier. Mon chemin était la paix et la paix était ma poursuite, et le soin de ma chère épouse. Le choix de mon frère fut la guerre cruelle.' »

Ovide, Métamorphoses 11. 560 ff :
« Ceyx dans sa main, qui avait jadis tenu le sceptre, s’agrippa à une planche, et pria en vain le père de sa femme et le sien de lui venir en aide… …. Cette aube, Lucifer brillait faiblement et étrangement ; les cieux, il ne pouvait les quitter, mais voilait son chagrin dans un dais dense de nuages larmoyants. »

HESPERUS &LE HESPERIDES

Diodore de Sicile, Bibliothèque d’histoire 4. 26. 2 (trad. Oldfather) (historien grec C1st av. J.-C.) :
 » Mais nous ne devons pas omettre de mentionner ce que les mythes relatent sur Atlas et sur la race des Hespérides. Le récit est le suivant : Dans le pays appelé Hespérite, il y avait deux frères dont la renommée était connue à l’étranger, Hesperos (Hesperus) et Atlas. Ces frères possédaient des troupeaux de moutons qui excellaient en beauté et étaient d’une couleur jaune d’or, c’est pourquoi les poètes, en parlant de ces moutons comme de mela, les appelaient mela d’or. Or Hesperos engendra une fille nommée Hesperis, qu’il donna en mariage à son frère, et après laquelle le pays reçut le nom d’Hesperitis ; et Atlas engendra par elle sept filles, qui reçurent le nom de leur père Atlantides, et de leur mère Hesperides. »

HESPERUS &Les pérégrinations de Déméter

Callimaque, Hymne 6 à Déméter 8 et suivants (trad. Mair) (poète grec C3e av. J.-C.) :
« Hesperos (Hesperus) des nuages marque le temps de sa venue : Hesperos, qui seul a persuadé Déméter de boire, quel temps elle a poursuivi les traces inconnues de sa fille volée… »

EOSPHORE DIEU DE L’ÉTOILE DU MATIN

Hesperus, lécythe athénien à figure rouge C5e av, British Museum

Aésop, Fables 211 (d’après Babrius 114) (trad. Gibbs) (fable grecque C6e av. J.-C.) :
« Il y avait une lampe ivre de sa propre huile qui se vantait un soir devant toutes les personnes présentes d’être plus brillante qu’Eosphoros (l’étoile du matin) et que sa splendeur brillait plus ostensiblement que tout ce qui existe au monde. Un vent soudain souffla dans la direction de la lampe, et son souffle éteignit sa lumière. Un homme ralluma la lampe et lui dit : « Brille, lampe, et tais-toi ! La splendeur des étoiles ne s’éteint jamais.' »

Quintus Smyrnaeus, Fall of Troy 2. 182 et suivants (trad. Way) (épopée grecque C4e ap. J.-C.) :
« Sur les crêtes précipitées des murs des montagnes, s’est élancé vers le ciel le brillant Eosphoros (l’Etoile du Matin) qui réveille leur labeur du sommeil, doux lieurs de la gerbe. »

Pseudo-Hyginus, Astronomica 2. 42 (trad. Grant) (mythographe romain C2e A.D.) :
« Planètes. Il nous reste à parler des cinq étoiles que beaucoup ont appelées errantes, et que les Grecs appellent Planeta (planètes)…. La quatrième étoile est celle de Vénus, Luciferus de son nom. Certains disent que c’est celle de Junon. Dans de nombreux contes, il est dit qu’elle est aussi appelée Hesperus. Elle semble être la plus grande de toutes les étoiles. Certains disent qu’elle représente le fils d’Aurore et de Céphale, qui surpassait beaucoup en beauté, au point de rivaliser avec Vénus, et, comme le dit Eratosthène, c’est pour cette raison qu’elle est appelée l’étoile de Vénus. Il est visible aussi bien à l’aube qu’au coucher du soleil, et c’est pourquoi on l’a appelé à juste titre à la fois Lucifer et Hesperus. »

Ovide, Métamorphoses 4. 665 et suivants :
« Brillant dans l’aube, Lucifer (Étoile du matin) était monté haut, l’étoile qui éveille le monde au travail. »

Ovide, Métamorphoses 8. 1 ff :
« Lucifer (l’étoile du matin) a révélé le jour brillant et la nuit a fui. »

Ovide, Métamorphoses 11. 97 ff :
 » matin Lucifer (l’étoile du matin) a rassemblé l’armée d’étoiles pour quitter le ciel. »

Ovide, Métamorphoses 11. 270 ff :
« L’étoile qui réveille l’aube et quitte le ciel en dernier. »

Ovide, Fasti 3. 877 ff :
« Lucifer (l’Étoile du matin) annonce l’Aurore montante (l’Aurore) . »

Ovide, Fasti 6. 473 ff :
 » s’en va, et le vigilant Luciferus (l’étoile du matin) quitte les flots de l’est. »

Virgile, Géorgiques 1. 288 ff (trad. Fairclough) (bucolique romain C1st B.C.) :
« Au lever du soleil, l’étoile du jour (Eous) couche la terre. »

Virgile, Géorgiques 3. 324 ff :
« Hâtons-nous vers les champs frais, comme Lucifer (l’étoile du matin) commence à se lever, alors que le jour est jeune, que l’herbe est hirsute, et que la rosée sur le tendre brin est la plus douce pour le bétail. »

Cicéron, De Natura Deorum 2. 20 :
« Les plus merveilleux sont les mouvements des cinq Étoiles (Stellae), faussement appelées Planètes ou Étoiles errantes (Stellae Errantes) …. La plus basse des cinq Étoiles (Stellae) et la plus proche de la terre est l’étoile de Vénus, appelée en grec Phosphoros (le Briseur de lumière) et en latin Lucifer quand elle précède le soleil, mais quand elle le suit Hesperos ; cette planète complète son orbite en un an, traversant le zodiaque avec un mouvement en zigzag comme le font les Étoiles (Stellae) au-dessus d’elle, et n’est jamais distante de plus de l’espace de deux signes du soleil, bien que parfois devant et parfois derrière lui …. Cette régularité dans les étoiles (Stellae), cette ponctualité exacte pendant toute l’éternité, malgré la grande variété de leurs parcours, est pour moi incompréhensible sans une intelligence et un but rationnels. Et si nous observons ces attributs dans les Stellae, nous ne pouvons manquer de les inscrire même au nombre des dieux. »

Seneca, Hercules Furens 125 ff (trad. Miller) (tragédie romaine C1st A.D.) :
« Maintenant les étoiles brillent peu et faiblement dans le ciel qui s’abaisse ; la nuit vaincue attire ses feux errants au moment où naît le nouveau jour, et Phosphore ramène l’arrière de l’armée brillante ; le signe glacé haut dans le nord, les Ours d’Arcas, avec leurs sept étoiles, avec la perche tournante appelle l’aube. Maintenant, Titan, monté sur ses chevaux d’azur, surgit de la crête d’Oeta ; maintenant, les rudes freins, rendus célèbres par les bacchantes thébaines, touchés par l’aube, rougissent, et la sœur de Phoebus s’enfuit, pour revenir encore. Le dur labeur surgit, met en branle tous les soucis, ouvre toutes les portes. »

Sénèque, Œdipe 504 ff :
« Tandis que les étoiles brillantes des cieux anciens suivront leur cours ; tandis qu’Océanus entourera de ses eaux la terre emprisonnée ; tandis que la pleine Luna (la Lune) rassemblera de nouveau son éclat perdu ; tandis que Lucifer (l’étoile du matin) annoncera l’aube du matin. »

Statius, Thébaïde 6. 237 ff :
« Or, neuf fois Lucifer (l’Étoile de l’aube) avait chassé du ciel les Astra (Étoiles) couvertes de rosée, et aussi souvent il changeait de monture et annonçait la nuit les feux lunaires –mais il ne trompait pas l’Astra consciente, et on le retrouve le même dans ses levers alternés. »

Nonnus, Dionysiaca 38. 287 ff (trad. Rouse) (épopée grecque C5e A.D.) :
 » « Quand tu commenceras ta course, passe près du côté de Kerne, et prends Phosphoros (l’étoile du matin) comme guide pour ouvrir la voie à ta voiture, et tu ne t’égareras pas ; douze Horai (Horae, Heures) tournant en rond à leur tour dirigeront ton chemin. » . . . Les Horai (Heures) amènent les chevaux ardents d’Hélios de leur crèche orientale ; Eosphoros (le Briseur d’Aurore) vient hardiment au joug, et attache le cou des chevaux dans les yokestraps brillants pour leur service. »

Nonnus, Dionysiaca 37. 70 et suivants :
 » appela Euros le vent oriental pour lui apporter une brise pour souffler sur son pur et son aide. Comme Bromios appelait, Eosphoros l’étoile du matin tout près entendit son appel, et envoya son frère à Lyaios (Lyaeus) , pour faire brûler la pure par son souffle plus vif. »

Nonnus, Dionysiaca 6. 18 ff :
« Elle se hâta d’un pied rapide vers la maison d’Astraios (Astraeus) le dieu de la prophétie ; ses cheveux coulaient derrière elle sans être tressés et les grappes secouaient les vents agités. Eosphoros l’aperçut et lui apporta la nouvelle… Il se leva et se dirigea vers la porte pour rencontrer Déméter. Alors qu’ils se hâtaient de traverser le hall, Hesperos (l’Étoile du soir) conduisit Deo à une chaise à côté du siège de son père ; avec la même affection, les Aetai (Vents), les fils d’Astraios, accueillirent la déesse avec des coupes rafraîchissantes de nectar qui était déjà mélangé dans le bol… . Puis l’ancien prépara un grand buffet, afin de dissiper par ses tables les soucis déchirants de Déméter. . . Eosphoros (l’étoile de l’aube) tressait des guirlandes de fleurs dans des bouquets encore fiers de la rosée du matin ; Hesperos tenait en l’air la torche qui est propre à donner de la lumière dans la nuit, et tournait autour avec une jambe dansante tandis qu’il lançait haut son pied courbé – car il est l’escorte des Erotes (Amours), bien entraîné dans le tracé sautillant de la danse nuptiale. »

Nyx, Hespérus et Séléné, cratère athénien à figures rouges C4e av. J.-C., Musée d’État de l’Ermitage

HESPERUS DIEU DE L’ÉTOILE DU SOIR

Callimaque, Hymne 4 à Délos 303 et suivants (trad. Mair) (poète grec C3e av. J.-C.) :
« Hesperos aux mèches frisées te regarde. »

Virgile, Géorgiques 1. 246 et suivants (trad. Fairclough) (bucolique romain C1er av. J.-C.) :
« Là, disent les hommes, il y a soit le silence d’une nuit sans vie, et l’obscurité qui s’épaissit toujours sous le voile de la nuit ; l’Aurore (l’Aurore) revient de chez nous et leur ramène le jour, et quand sur nous le Soleil levant souffle pour la première fois avec des chevaux haletants, là, la Vesper rougeoyante allume ses rayons du soir… ». »

Virgile, Géorgiques 4. 434 et suivants :
« Comme parfois le gardien d’une bergerie sur les collines, lorsque Vesper (l’étoile du soir) ramène les bœufs du pâturage. »

Seneca, Medea 874 ff :
« Maintenant, ô Phoebus , accélère ton char sans frein de rêne ; que les ténèbres amicales voilent la lumière et que Hesperus, avant-garde de la nuit, plonge au plus profond de ce jour effrayant. »

Sénèque, Œdipe 739 et suivants :
 » mesuraient leur vie par un seul jour ; nés après le passage de Lucifer (l’étoile du matin) , ils périssaient avant que ne se lève Hesperus (l’étoile du soir). »

Sénèque, Phèdre 749 et suivants :
« Tel est le messager de la nuit, qui ramène les premières ombres, Hesperus (l’étoile du soir), fraîchement baignée dans l’océan ; et lorsque les ombres ont été chassées à nouveau, Luciferus (l’étoile du matin) aussi. »

Statius, Thébaïde 6. 580 et suivants :
« Quand la lumière des étoiles scintille sur une mer tranquille, et que le ciel pailleté se reflète tremblant dans les profondeurs. Brillant est chaque étoile, mais plus brillant que les autres, Hesperus tire ses rayons, et aussi brillant qu’il flambe dans les hauts cieux, aussi brillant est son reflet dans les vagues bleu foncé. »

Statius, Thébaïde 8. 159 ff :
« Dark Vesper (l’étoile du soir) mène déjà les chevaux de la lune. »

Nonnus, Dionysiaca 12. 3 et suivants :
« Ceux-ci par les brins d’Okeanos (Océanus) occidental prirent le bateau pour la demeure d’Hélios (le Soleil) leur père. Comme ils approchaient, Hesperos l’étoile du soir se leva d’un bond et sortit de la salle pour aller à leur rencontre. Séléné (la Lune) elle-même s’élança de nouveau, montrant sa lumière alors qu’elle conduisait son bétail.Les sœurs, à la vue du Chariot vivifiant, arrêtèrent leur pas fécond. Il venait de terminer sa course et descendait du ciel. Le brillant Phosphoros était prêt pour le conducteur aux yeux de feu, près de son char et de ses quatre. Il rangea les yokestraps chauds et le fouet étoilé, et lava dans le ruisseau voisin Okeanos le corps des chevaux nourris au feu et mouillés de sueur. Les poulains secouaient sur leur cou les crinières ruisselantes, et foulaient de leurs sabots étincelants la crèche brillante. »

Nonnus, Dionsyiaca 26. 144 ff :
« Hesperos brille au milieu des étoiles et éclaire le ciel, Hesperos, annonciateur de la morosité ténébreuse qui suit quand la lumière fait défaut. »

Nonnus, Dionysiaque 6. 18 et suivants :
« Elle se hâta, d’un pied rapide, vers la maison d’Astraios (Astraeus) …. Eosphoros l’a vue et a apporté la nouvelle… … Hesperos conduisit Deo à une chaise à côté du siège de son père…. Eosphoros tressait des guirlandes de fleurs dans des bouquets encore fiers de la rosée du matin ; Hesperos tenait en l’air la torche qui est propre à donner de la lumière dans la nuit, et tournait autour avec une jambe dansante tandis qu’il lançait haut son pied courbé – car il est l’escorte des Erotes (Amours), bien entraîné dans le tracé sautillant de la danse nuptiale. »

EOSPHORUS-HESPERUS LE DIEU DU MARIAGE

Eosphoros-Hesperos, la planète Vénus, était l’étoile des déesses Aphrodite et Héra et, en tant que telle, était parfois comptée parmi les Theoi Gamelioi (Dieux du mariage). Sénèque l’inclut dans un hymne de mariage.

Culte d’HESPERUS

ARTISTE GREC ANCIEN

T19.12 Hélius, Eos, Eosphorus

Peinture de vase à figure rouge d’Apulie C4e avant J.-C.

T31.1 Eosphore avec auréole

Tableau de vase à figure rouge athénienne C5ème av. J.-C.

N1.1 Nyx, Séléné, Hesperus

Peinture de vase à figure rouge athénienne C4e av. J.-C.

SOURCES

GREEQUE

ROMAIN

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