Si David est le « cerveau » derrière tout cet événement maléfique, et compte tenu de l’amalgame total et complet et des crtisismes dans lesquels la GRC a été impliquée concernant l’enquête, et de la façon dont toute la perspective du « four autonettoyant » de la GRC a été traitée par elle.
Il est logique que la GRC ait, en toute connaissance de cause, décidé qu’à la lumière d’une enquête plus difficile et plus longue ciblant « les cerveaux », ils prendraient le fruit le plus bas et crucifieraient le « muet » pour faire un succès plus rapide à parader pour le public (et une poursuite plus facile).
En attendant, au cours de la décennie suivante ou plus, garder un œil très attentif sur le malin – s’assurer qu’il sait qu’il est surveillé.
Tout cela a trop de sens étant donné l’histoire de la GRC, et d’autres enquêtes à grande échelle qui se sont effondrées ou ont été « réparées » pour les faire paraître mieux.
Ceci est hypothétique bien sûr. En fait, j’ai de la sympathie pour ce David. Il y a des années, j’ai connu un homme bon qui a été crucifié par la presse et l’opinion publique. Je pense que j’étais le seul à rester de son côté. Il s’est avéré qu’il était innocent. Donc je comprends ça. Mais je comprends aussi un peu comment les décisions sont prises en matière de stratégie pour équilibrer les besoins institutionnels et le bien public, etc. La GRC prend parfois des décisions assez merdiques et sans cœur concernant la vie des gens. Assez souvent, juste pour s’assurer qu’ils sortent propres du lavage. Le problème auquel je me heurte est donc, oui( !), le principe de « l’innocent jusqu’à preuve du contraire ». Je reconnais également l’hypocrisie de cette déclaration après ce que je viens de suggérer ci-dessus. Mais on ne peut ignorer ni l’un ni l’autre aussi dans une analyse de la situation.