- Comment ce médicament agit-il? Quels sont ses effets?
- Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il?
- Comment doit-on employer ce médicament?
- Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé?
- Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament?
- Existe-t-il d’autres précautions d’emploi ou mises en garde?
- AVIS DE SANTÉ CANADA
- 31 juillet 2020
- D’autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament?
Comment ce médicament agit-il? Quels sont ses effets?
Ce produit composite contient 3 médicaments : l’acétaminophène, la codéine et la caféine.
L’acétaminophène appartient au groupe de médicaments appelés analgésiques (les médicaments antidouleur) et antipyrétiques (les médicaments qui abaissent une fièvre).
La codéine appartient au groupe de médicaments appelés narcotiques analgésiques.
La caféine appartient au groupe de médicaments appelés stimulants.
L’association acétaminophène – codéine – caféine s’utilise pour soulager la douleur légère à modérée, associées à divers troubles comme les maux de tête, les maux de dents, les douleurs musculaires, les douleurs menstruelles et les douleurs consécutives à un accident ou une opération.
Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d’information sur les médicaments. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées pour tous les troubles mentionnés dans cet article. Si vous n’en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.
Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu’un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres. Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n’a pas été prescrit.
Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il?
Chaque comprimé dur, blanc, en forme de capsule, portant un logo en forme de » M » stylisé et le nom » McNEIL » imprimés sur une face et » NO. 1 » sur l’autre, contient 300 mg d’acétaminophène, 15 mg de caféine et 8 mg de phosphate de codéine. Ingrédients non médicinaux : amidon de maïs, cellulose, glycolate d’amidon sodique et stéarate de magnésium. Sans gluten, lactose, métabisulfite sodique ni tartrazine.
Comment doit-on employer ce médicament?
La dose usuelle recommandée pour les personnes de 12 ans et plus est de 1 comprimé pris les 4 à 6 heures au besoin. Si la prise d’un (1) comprimé n’est pas efficace pour le soulagement de la douleur, prenez 2 comprimés lors de la dose suivante. La dose devrait être ajustée en fonction de l’intensité de la douleur ressentie. La dose maximale de ce médicament est 12 comprimés (ou 4000 mg d’acétaminophène maximum) par 24 heures. La prise de plus de 12 comprimés en une période de 24 heures peut causer de graves lésions hépatiques susceptibles d’être fatales.
Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte pour déterminer la dose dont une personne a besoin : son poids, son état de santé et la prise d’autres médicaments. Si votre médecin a recommandé une dose autre que celles indiquées ici, ne modifiez pas la manière de prendre le médicament sans le consulter au préalable.
L’acétaminophène ne devrait pas être pris pour soulager la douleur pendant plus de 5 jours ou contre la fièvre pendant plus de 3 jours, à moins d’un avis contraire du médecin.
Il est important d’utiliser ce médicament conformément aux indications de votre médecin. Si votre médecin vous a dit de prendre ce médicament régulièrement et que vous oubliez une dose, prenez le médicament dès que vous constatez l’omission et reprenez la suite du traitement aussitôt que possible. S’il est presque temps de votre prochaine dose, ne vous souciez pas de la dose omise et reprenez le schéma posologique usuel. N’utilisez pas une double dose pour compenser l’omission d’une dose. Si vous hésitez sur la conduite à tenir après avoir omis une dose, demandez conseil à votre médecin ou à un pharmacien.
Conservez ce médicament à la température ambiante, à l’abri de la lumière et de l’humidité et hors de la portée des enfants.
Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations, ou les deux. Une marque de ce médicament pourrait ne pas être disponible sous toutes les présentations énumérées ici. Vous trouverez les diverses présentations sous lesquelles cette marque particulière est mise à votre disposition dans la section : » Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il ? «
Ne jetez pas de médicaments dans les eaux usées (par ex. pas dans l’évier ni dans la cuvette des cabinets) ni avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien comment vous débarrasser des médicaments inutilisés ou périmés.
Dans quels cas ce médicament est-il déconseillé?
Abstenez-vous d’employer ce médicament dans les circonstances ci-après :
- une allergie l’acétaminophène, la caféine, la codéine ou à l’un des ingrédients du médicament;
- un asthme aigu ou une autre affection obstructive des voies aériennes supérieures;
- une dépression respiratoire aiguë;
- une fonction hépatique ou rénale fortement réduite;
- une grossesse ou l’allaitement au sein; pendant le travail ou l’accouchement;
- une obstruction des voies digestives, en particulier un iléus paralytique;
- une personne qui subit une surdose ou une intoxication à l’alcool, aux hypnotiques, aux analgésiques ou aux psychotropes;
- la personne traitée a moins de 12 ans;
- la personne traitée est âgée de 18 ans ou moins et a récemment été opérée des amygdales ou végétations adénoïdes ou a prévu de se faire opérer sous peu;
- la personne traitée est un métaboliseur ultra-rapide de l’enzyme CYP2D6 (un individu qui transforme la codéine en son métabolite actif entièrement et plus rapidement que la moyenne);
- la prise actuelle d’un inhibiteur de la monoamine oxydase (par ex. la phenelzine ou la tranylcypromine) ou dans les 14 derniers jours;
- la possibilité d’une affection abdominale susceptible de nécessiter une intervention chirurgicale;
- un traumatisme crânien, une tumeur cérébrale ou une augmentation de la pression intracrânienne ou de la moelle épinière;
- un trouble convulsif.
Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament?
Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu’il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.
Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.
Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d’eux-mêmes avec le temps.
Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s’ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :
- un assoupissement;
- une constipation;
- des étourdissements;
- de la nausée;
- une sensation de tête légère;
- des vomissements.
La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.
Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l’un des effets secondaires ci-après se manifeste :
- l’agitation;
- une démangeaison;
- une douleur abdominale;
- une éruption cutanée;
- un essoufflement;
- un estomac dérangé;
- un état de nervosité;
- des maux de tête;
- des modifications de l’humeur;
- des signes de problèmes respiratoires (par ex. essoufflement, respiration sifflante, respiration irrégulière ou difficile);
- des troubles du sommeil.
Cessez de prendre le médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s’il se produit une réponse comme :
- la confusion;
- des hallucinations;
- des signes d’une grave réaction allergique (par ex. des crampes abdominales, une difficulté respiratoire, de la nausée et des vomissements, ou une boursouflure du visage et une enflure de la gorge);
- des signes d’une grave réaction cutanée (comme des cloques, une desquamation, une éruption cutanée recouvrant une grande région du corps, une éruption cutanée qui s’étend rapidement ou une éruption cutanée accompagnée d’une fièvre ou d’une gêne).
Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés. Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.
Existe-t-il d’autres précautions d’emploi ou mises en garde?
Avant d’employer un médicament, ne manquez pas d’informer votre médecin des troubles médicaux ou des allergies que vous pourriez avoir, des médicaments que vous utilisez et de tout autre fait important au sujet de votre santé. Les femmes devraient mentionner si elles sont enceintes ou si elles allaitent. Ces facteurs pourraient avoir une influence sur la façon dont vous devriez employer ce médicament.
AVIS DE SANTÉ CANADA
31 juillet 2020
Santé Canada a émis de nouvelles mises en garde concernant l’emploi des produits analgésiques vendus sans ordonnance et contenant de la codéine. Pour lire dans son intégralité l’avis de Santé Canada, rendez-vous vers le site Web de Santé Canada à l’adresse www.hc-sc.gc.ca.
Autres troubles médicaux : les personnes qui sont sur le point de subir une intervention chirurgicale ciblant les voies biliaires devraient faire preuve de prudence pendant qu’elles emploient la codéine, car ce médicament pourrait aggraver leur affection. La codéine rendra les effets d’une intoxication alcoolique aiguë et du delirium tremens plus pénibles à supporter.
De même, si vous êtes atteint d’hypothyroïdie (faibles taux d’hormone thyroïdienne), de la maladie d’Addison, d’hypertrophie bénigne de la prostate (augmentation du volume de la prostate), d’une maladie de la vésicule biliaire, de sténose urétrale, d’une réduction de la fonction des glandes surrénales ou de porphyrie, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l’influence de votre affection sur l’administration et l’efficacité de ce médicament, et de la pertinence d’une surveillance médicale spécifique.
Aggravation des symptômes : si une rougeur, ou une enflure, apparaît dans la zone douloureuse, si les symptômes ne s’améliorent pas ou s’ils empirent, ou si de nouveaux symptômes se manifestent (par ex. une forte fièvre, une éruption cutanée, une démangeaison, des maux de tête persistants) pendant que vous prenez ce médicament, communiquez avec votre médecin au plus tôt. Il pourrait s’agir des signes d’autres affections qui exigeraient des soins médicaux.
Blessures à la tête : si vous avez subi un traumatisme crânien ou si votre pression intracrânienne est élevée, vous courez un risque accru de subir des effets secondaires (problèmes respiratoires) ou une aggravation de votre état pendant que vous prenez ce médicament. Discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l’influence de votre affection sur l’administration et l’efficacité de ce médicament, et de la pertinence d’une surveillance médicale spécifique.
Consommation d’alcool : si vous buvez régulièrement de grandes quantités d’alcool, discutez avec votre médecin du risque accru d’atteinte hépatique apparentée à l’acétaminophène contenu dans ce médicament et des précautions d’emploi de ce médicament.
Constipation : la codéine peut provoquer une constipation très importante. Le fait de suivre un régime alimentaire riche en fibres et d’avoir de bonnes habitudes de selles aidera à minimiser cet effet. Si vous êtes facilement constipé, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l’influence de votre affection sur l’administration et l’efficacité de ce médicament, et de la pertinence d’une surveillance médicale spécifique.
Crises épileptiques : ce médicament peut causer des crises convulsives. Les convulsions sont plus susceptibles de se produire lors de la prise de fortes doses de ce médicament. Si vous avez des antécédents d’épilepsie ou d’affections médicales qui augmentent le risque de convulsions, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l’influence de votre affection sur l’administration et l’efficacité de ce médicament, et de la pertinence d’une surveillance médicale spécifique.
Dépendance et sevrage : ce médicament contient de la codéine. Des cas de dépendance physique et psychologique et d’abus de la codéine ont été signalés lors de l’utilisation de ce médicament. Les personnes qui possèdent des antécédents de problèmes d’abus de substances et celles qui subissent activement de tels problèmes actuellement sont susceptibles d’abuser de ce médicament ou d’en devenir dépendantes. L’abus de médicaments ne représente pas un problème pour les personnes qui ont besoin de ce médicament pour soulager une douleur importante.
Si vous cessez subitement de prendre ce médicament, vous pourriez ressentir des symptômes de sevrage comme de l’anxiété, de la sudation excessive, des troubles du sommeil, des frissons, de la douleur, de la nausée, des tremblements de la diarrhée et des hallucinations. Si vous prenez ce médicament depuis un certain temps, vous ne devriez cesser de le prendre que graduellement selon les directives de votre médecin.
Fonction hépatique : l’acétaminophène peut provoquer une réduction de la fonction hépatique. En cas d’affection hépatique ou de fonction hépatique diminuée, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l’influence de votre affection sur l’administration et l’efficacité de ce médicament, et de la pertinence d’une surveillance médicale spécifique. La prise d’une trop grande quantité d’acétaminophène avec de la codéine est susceptible de provoquer des problèmes hépatiques.
Si vous observez la survenue de symptômes de troubles hépatiques comme de la fatigue, une sensation de malaise, une perte de l’appétit, de la nausée, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine foncée, des selles claires, une douleur abdominale, ou une enflure et une démangeaison cutanée, prenez contact avec votre médecin immédiatement.
Fonction rénale : en cas d’atteintes rénales ou de fonction réduite des reins, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l’influence de votre affection sur l’administration et l’efficacité de ce médicament, et de la pertinence d’une surveillance médicale spécifique.
Métaboliseurs ultra-rapides de la codéine : certaines personnes convertissent la codéine de manière plus rapide et plus complète que d’autres du fait d’une variation génétique. Cela peut donner lieu à des niveaux plus élevés que la normale du médicament dans le corps et peut résulter en des symptômes attribuables à une overdose ainsi qu’à des effets sur la respiration potentiellement mortels. Si vous faites partie des métaboliseurs rapides de la codéine, vous devriez éviter d’employer ce médicament.
Respiration : la codéine peut inhiber la respiration. Si vous êtes prédisposé à des difficultés respiratoires comme l’asthme ou une maladie pulmonaire chronique), discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l’influence de votre affection sur l’administration et l’efficacité de ce médicament, et de la pertinence d’une surveillance médicale spécifique.
Somnolence ou vigilance réduite : ce médicament peut entraîner une somnolence. Évitez de conduire un véhicule, de faire fonctionner des machines, d’accomplir d’autres tâches qui exigent de la vigilance, jusqu’au moment où vous aurez déterminé l’effet de ce médicament sur vos capacités de réaction mentale.
Troubles abdominaux : la codéine est susceptible de rendre le diagnostic de certaines affections abdominales plus difficile ou d’aggraver ces affections. En cas de troubles abdominaux comme une maladie inflammatoire ou obstructive de l’intestin, une cholécystite aiguë ou une pancréatite, discutez avec votre médecin de la façon dont ce médicament pourrait influer sur votre affection, de l’influence de votre affection sur l’administration et l’efficacité de ce médicament, et de la pertinence d’une surveillance médicale spécifique.
Grossesse : ce médicament ne devrait pas s’utiliser durant la grossesse à moins que les bienfaits priment les risques. Si une grossesse advient pendant que vous utilisez ce médicament, prenez contact avec votre médecin immédiatement.
Allaitement : l’acétaminophène, la codéine et la caféine passent dans le lait maternel. Une partie de la codéine est transformée en morphine par le corps. Pour certaines personnes, ce processus se produit plus rapidement que pour d’autres. Dans le cas d’une mère qui allaite, le bébé court le risque d’une surdose de morphine par le biais du lait maternel.
Si vous prenez ce médicament pendant que vous allaitez, votre bébé pourrait en ressentir les effets. Consultez votre médecin pour savoir si vous devriez continuer l’allaitement.
Enfants : ni l’innocuité ni l’efficacité de ce médicament n’a été établie en ce qui concerne les enfants âgés de moins de 12 ans. Les médicaments contenant de la codéine ne devraient pas être pris par les personnes de moins de 18 ans dans le but de traiter une douleur survenant après une opération des amygdales ou des végétations adénoïdes.
Aînés : les aînés qui prennent ce médicament courent un risque accru d’effets secondaires ou d’aggravation de troubles médicaux préexistants.
D’autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament?
Il pourrait se produire une interaction entre l’association acétaminophène – codéine – caféine et les agents ci-après :
- acétate d’abiratérone;
- aclidinium;
- alcool;
- amiodarone;
- amphétamines (par ex. la dextroamphétamine, la lisdexamfétamine);
- anesthésiques généraux (médicaments utilisés pour provoquer un sommeil profond avant une intervention chirurgicale);
- antidépresseurs tricycliques (par ex. l’amitriptyline, la clomipramine, la désipramine, la trimipramine);
- antihistaminiques (par ex. la cétirizine, la doxylamine, la diphenhydramine, l’hydroxyzine, la loratadine);
- antipsychotiques (par ex. la chlorpromazine, la clozapine, l’halopéridol, l’olanzapine, la quétiapine, la rispéridone);
- atropine;
- d’autres narcotiques analgésiques (par ex. le fentanyl, l’hydrocodone, la morphine);
- d’autres produits contenant de l’acétaminophène, la caféine ou la codéine;
- azélastine;
- baclofène;
- barbituriques (par ex. le butalbital, le pentobarbital, le phénobarbital);
- belladone;
- benzodiazépines (par ex. l’alprazolam, le diazépam, le lorazépam);
- benztropine;
- brimonidine;
- buprénorphine;
- bupropion;
- buspirone;
- butorphanol;
- célécoxib;
- chloroquine;
- cholestyramine;
- cinacalcet;
- cocaïne;
- darifénacine;
- delavirdine;
- desmopressine;
- disopyramide;
- diurétiques (pilupour éliminer l’eau; par ex. le furosémide, l’hydrochlorothiazide, triamterene);
- dofétilide;
- dronabinol;
- dronédarone;
- éfavirenz;
- flavoxate;
- glycopyrrolate;
- hydrate de chloral;
- inhibiteurs de la monoamine oxydase (MAO) (par ex. la phénelzine, la sélégiline, la tranylcypromine);
- inhibiteurs de la tyrosine kinase (par ex. le dasatinib, l’imatinib, le nilotinib);
- inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS, par ex. le citalopram, la duloxétine, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline);
- l’ipratropium;
- inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine-noradrénaline ou ISRN (par ex. la desvenlafaxine, la duloxétine, la venlafaxine);
- isoniazide;
- kava;
- kétoconazole;
- kétotifène;
- lopinavir;
- médicaments antiépileptiques (par ex. le clobazam, l’éthosuximide, le felbamate, le lévétiracétam, le phénobarbital, la phénytoïne, la primidone, le topiramate, l’acide valproïque, le zonisamide);
- médicaments antimigraineux de la classe des » triptans » (par ex. le rizatriptan, le sumatriptan);
- méthadone;
- métyrapone;
- métyrosine;
- mirabégron;
- mirtazapine;
- nabilone;
- naltrexone;
- octreodtide;
- olopatadine;
- oxybutynine;
- pentazocine;
- pérampanel;
- phényléphrine;
- pimozide;
- pramipexole;
- prilocaïne;
- probénécide;
- quinidine;
- quinine;
- relaxants musculaires (par ex. le baclofène, la cyclobenzaprine, le méthocarbamol, l’orphénadrine);
- rifampine;
- ritonavir;
- ropinirole;
- rufinamide;
- scopolamine;
- sulfate;
- sulfate de magnésium;
- tapentadol;
- terbinafine;
- thalidomide;
- ticlopidine;
- tiotropium;
- toltérodine;
- tramadol;
- tranylcypromine;
- uméclidinium;
- vaccins;
- warfarine;
- zolpidem;
- zopiclone.
Si vous prenez l’un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :
- cesser la prise de l’un des médicaments;
- remplacer l’un des médicaments par un autre;
- modifier la manière dont vous prenez l’un des médicaments, ou les deux;
- ne rien changer du tout.
L’interférence d’un médicament avec un autre n’entraîne pas toujours l’interruption de la prise de l’un d’eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d’interactions médicamenteuses.
D’autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu’il s’agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N’oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l’alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l’action de nombreux médicaments.
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